- 3 nov. (19H00) Cité audacieuse, Paris (en collaboration avec le Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir)
- 9 Rue de Vaugirard, 75006 Paris
GIV 50: On n’est jamais mieux servi·e que par soi-même
// We are never better served than by ourselves
Ce programme célèbre les 50 ans du Groupe Intervention Vidéo (GIV). Le titre reflète le manque de nos représentations dans le domaine audiovisuel public. lamathilde et kimura byol lemoine, ont choisi cinq artistes prolifiques lesbo-queer du GIV, de générations différentes (60s, début/fin 50s et 40s) et toujours en activité: Anne Golden, kimura byol lemoine, lamathilde, Dayna McLeod et Kim Kölle Valentine qui reflètent l’évolution des pratiques (supports, techniques) et des thèmes.
This program celebrates the 50th anniversary of Groupe Intervention Vidéo (GIV). The title reflects the lack of our representations in the public audiovisual domain. lamathilde and kimura byol lemoine have chosen works by five prolific lesbo-queer artists of GIV, from different generations (60s, early/late 50s and 40s) and still active: Anne Golden, kimura byol lemoine, lamathilde, Dayna McLeod and Kim Kölle Valentine who reflect the evolution of practices (media, techniques) and themes.
- Les aventures de Ponygirl, Anne Golden, 2000, Quebec, Fiction 13:00, colour, English, StFr
- The Pack, Anne Golden, 2015, Canada, 01:12, colour, No dialogue
- The Trend, Anne Golden, 2020, QC/Canada, Exp., 04:23, colour, No dialogue
- Triple axxxel, lamathilde, 2003, Canada, Animation, 03:30, couleurs, sans dialogue
- Win-nip-egg, lamathilde, 2015, Québec, Exp., 04:12, couleurs, Français, Subs
- Chants d’Amours, lamathilde, 2020, Québec, Exp., 03:15, couleurs, sans dialogue
- Disadoption, kimura byol lemoine, 2008, Québec, Animation, 02:00, couleurs, Français, Subs
- Oui mes noms, kimura byol lemoine, 2014, Canada, Exp., 01:40, couleurs, Français, Subs
- TTT (Tㅌト), kimura byol lemoine, 2024, France/Canada, Exp., 03:33, colour, English, StFr
- Madonna swimming, Kim Kölle Valentine, 2007, Canada, Exp., 02:39, colour, sans dialogue
- Spot in the Sun, Kim Kölle Valentine, 2014, CA/UK, Exp., 13:22, colour, English, StFr
- The Bathroom Tapes: My man, Dayna McLeod, 2000, Canada, Perf., 02:50, colour, English, StFr
- Don’t Ask Don’t Tell Gay Gay Gay, Dayna McLeod, 2011, Canada, Exp., 01:11, colour, English, StFr
- FouBARthes: The Death of the Author, Dayna McLeod, 2024, Canada, Exp., 03:05, colour, English, StFr
- Les aventures de Ponygirl, Anne Golden, 2000, Quebec, Fiction 13:00, colour, English // Une aventure parfois inquiétante à travers la vie mystérieuse de Ponygirl, super-héros de la nuit. Ponygirl possède des pouvoirs spéciaux, des accessoires extraordinaires et une façon unique de se déplacer à travers le monde. L’émotion et l’humour prévaudront-ils ? // A sometimes eerie romp through the mysterious life of Ponygirl, superhero of the night. Ponygirl has special powers, extra-ordinary props and a unique way of moving through the world. Will poignancy and humor prevail?
- The Pack, Anne Golden, 2015, Canada, 01:12, colour, No dialogue // Des bêtes hargneuses. // Snarling beasts.
- The Trend, Anne Golden, 2020, QC/Canada, Exp., 04:23, colour, no dialogue // Un remix de sons et d’images des archives Prelinger qui présente les tendances de la mode. //A remix of sounds and images from the Prelinger Archives that feature fashion trends.
- Triple axxxel, lamathilde, 2003, Canada, Animation, 03:30, couleurs, sans dialogue // Quintessence du corps cliché. Le patinage nous parle du genre… Ice-skating and gender. A pornographic collage of figure-skating footage.
- win nip egg, lamathilde, 2015, Québec, Exp., 04:12, colour, Français/Subs // Quand un état fantômise une population, Dans une ville où se croisent les victimes de l’histoire coloniale et les récits dominants, une voix amorce un regard sur l’effacement des femmes et des minorités. Entre “win”, “nip” et “egg”, elle joue avec les mots et les identités, scrute la violence des corps et celles des discours — un geste visuel fragile et politique. // In a city where victims of colonial history and dominant narratives intersect, a voice begins to examine the erasure of women and minorities. Between “win,” “nip,” and “egg,” she plays with words and identities, scrutinizing the violence of bodies and discourse—a fragile and political visual gesture.
- Chants d’Amours, lamathilde, 2020, Québec, Exp., 03:15, couleurs, sans dialogue // Chants d’Amours est une œuvre vidéo percutante, fondée sur l’appropriation d’insultes homophobes et transphobes. En les réinterprétant, Lamathilde et ses ami·e·s 2ELGBTQ de Montréal transforment le stigmate en résistance poétique et politique, espérant faire naître plus d’amour, de dignité et de résilience à travers les mots. // Chants d’Amours is a powerful video work based on the appropriation of homophobic and transphobic slurs. By reinterpreting them, Lamathilde and her LGBTQ2S friends from Montreal transform stigma into poetic and political resistance, hoping to inspire more love, dignity, and resilience through words.
- Disadoption, kimura byol lemoine, 2008, Québec, Animation, 02:00, couleurs, Français, Subs // Désadoption questionne la possibilité pour les parents d’annuler une adoption ou de « désadopter ». Dans cette animation, l’artiste transforme les paroles de « Ah vous dirai-je maman » en une réponse au courrier de son père « adoptif » en réutilisant ses propres termes. // Disadoption challenges the plurality of the mother and father in adoption and asks whether it is possible to cancel an adoption or ‘disadopt’. The artist transforms the lyrics of ‘Twinkle Twinkle Little Star’ learned by children in nursery school. The wonder of looking at the little star is converted into the surprise of a rumor told by the adoption agency.
- oui mes noms, kimura byol lemoine, 2014, Canada, Exp., 01:40, Français, Subs // oui mes noms est une vidéo-réponse à une simple question de présentation… « mais quel est ton nom… pour vrai » ou « mais comment veux-tu qu’on t’appelle… par quel nom? ». Alors, après quelques années de réflexion, voici ma réponse en 100 mots… sur une vidéo de 100 secondes. // say my names is a video that answers a frequently asked question…’but what is your name… really?’ or ‘but how do you want me to call you… which name?’ So, after a few years of thinking, here is my answer in 100 words/100 second video.
- TTT (Tㅌト), kimura byol lemoine, 2024, France/Canada, Exp., 03:33, couleurs, English, StFr (avec Ke) // Après le 100e « Le Testo du jeudi » (TTT), les références trilingues comme les alphabets romain et coréen (Hangeul) et l’alphabet syllabique japonais (Katana) du mot TRANS sur un sketch comique de Kě. // After the 100th ‘The Thursday Testo,’ (TTT), the tri-linguistic references such as the Roman and Korean (Hangeul) alphabets and the Japanese syllabic (Katana) alphabet of the word TRANS on a comedy sketch by Kě.
- Madonna swimming, Kim Kölle Valentine, 2007, Canada, Exp., 02:39, colour, no dialogue // Madonna Swimming est une œuvre vidéo créée à partir d’images de clips vidéo de Madonna. Madonna est une figure culturelle de l’excès, son iconographie s’appropriant une culture visuelle saturée. Cette vidéo rassemble la Madonna qui fuit, ses images de sexualité et de religion, et présente finalement un produit plus ambigu. // Madonna Swimming is a video work created from footage of Madonna’s music videos, Madonna is a cultural figure of excess, and her iconography appropriated from a saturated visual culture. This video collects the leaking Madonna, her images of sexuality and religion, and ultimately presents a more ambiguous product.
- Spot in the Sun, Kim Kölle Valentine, 2014, CA/UK, Exp., 13:22, colour, English, StFr // La tentative d’un.e artiste de recréer de mémoire Sans Soleil du cinéaste expérimental Chris Marker. Travaillant à partir de fragments, le film s’articule en un récit captivant. Il suit des schémas de pensée à travers des matériaux tels que Vertigo d’Alfred Hitchcock, Les Anneaux de Saturne de WG Sebald, The Waves de Virginia Woolf, et le combine avec des séquences personnelles et intimes, des images du paysage gallois, de San Francisco et bien sûr, le film préféré de Chris Marker animal. // An artist’s attempt to recreate experimental filmmaker Chris Marker’s Sans Soleil from memory. Working from fragments, the film weaves together into an engrossing narrative. It follows patterns of thought through material such as Alfred Hitchcock’s Vertigo, WG Sebald’s The Rings of Saturn, Virginia Woolf’s The Waves, and combines it with personal, intimate footage, images of the Welsh landscape, San Francisco, and of course, Chris Marker’s favourite animal.
- The Bathroom Tapes: My man, Dayna McLeod, 2000, Canada, Perf., 02:50, colour, English, StFr // The Bathroom Tapes : « My Man » est le premier d’une série de clips vidéo entièrement tournés dans les pièces de mon appartement. Intéressées par le confinement domestique, la nidification et le confort du foyer, ces bandes jouent avec des aspects de la domesticité à travers des jeux de rôle et du déni dans un monde fantastique auto-construit qui n’est pas toujours agréable. // The Bathroom Tapes: “My Man” is the first in a series of music videos shot entirely in the rooms of my apartment. Interested in domestic containment, nesting, and home-sweet-home comfort, these tapes play with aspects of domesticity through role-playing and denial in a self-constructed fantasy world that isn’t always pleasant.
- Don’t Ask Don’t Tell Gay Gay Gay, Dayna McLeod, 2011, Canada, Exp., 01:11, colour, English, StFr // Je regarde la télé pour que tu n’aies pas à le faire. Comme les brefs résumés de description qui accompagnent souvent les programmes télévisés via un guide de câble à l’écran, Don’t Ask Don’t Tell Gay, Gay, Gay est un montage rapide/raccourci qui résume le contenu de l’épisode de la saison 4. 4 de, Boston Legal. Toutes les séquences *excédentaires* ont été supprimées pour capturer le reflet dominant et le ton du discours américain autour du DADT. Don’t Ask Don’t Tell Gay, Gay, Gay est un extrait de la saison 4, épisode 4 de Boston Legal. // I watch tv so you don’t have to. Like the short description summaries that often accompany tv programs though an on-screen cable guide, Don’t Ask Don’t Tell Gay, Gay, Gay is a jump-cut/short-cut edit that summarizes the content of Season 4, episode 4 of, Boston Legal. All *excess* footage has been removed to capture the mainstream reflection and tone of American discourse around DADT. Don’t Ask Don’t Tell Gay, Gay, Gay is sampled from Season 4, episode 4 of, Boston Legal.
- FouBARthes: The Death of the Author, Dayna McLeod, 2024, Canada, Exp., 03:05, colour, English, StFr // L’artiste de performance médiatique Dayna McLeod a demandé à ChatGPT d’écrire un dialogue de plus en plus sarcastique et passionné entre Roland Barthes et Michel Foucault sur La Mort de l’auteur, inspiré du célèbre essai de Barthes. // Ce script est interprété par les acteurs de l’IA des théoriciens, avec le sosie de l’IA de Dayna, DaynAI, agissant comme hôte de leur débat. Media performance artist Dayna McLeod asked ChatGPT to write an increasingly snarky and heated dialogue between Roland Barthes and Michel Foucault about The Death of the Author, inspired by Barthes’ famous essay. This script is performed by AI actors of the theorists, with Dayna’s AI doppelgänger, DaynAI, acting as host to their debate.
BIOS
- Anne Golden est la directrice artistique de Groupe Intervention Vidéo (GIV) et a réalisé plus de cents vidéos mais aussi commissaire indépendante et écrivaine; ses programmes ont été présentés au Musée national des beaux-arts du Québec, Edges Festival et Queer Cinema City. Golden a participé à de nombreuses présentations sur les pratiques de conservation, la distribution indépendante et les films d’horreur. Golden est co-directrice artistique du Groupe Intervention Vidéo (GIV). Elle enseigne au département de Media Arts de John Abbott College. Son roman From The Archives Of Vidéo Populaires (Pedlar Press) a été publié en mars 2016.Golden a réalisé une vingtaine de vidéos, incluant Les Autres (1991), Fat Chance (1994), Big Girl Town (1998) and The Horror Cycle (2016, 2018) The Hall (2019), Rebound (2020) et The Hunter (2020), entre autres. // Anne Golden is the artistic director of Groupe Intervention Vidéo (GIV) and has made more than 100 vidéos. She is also an independent curator and writer whose programs have been presented at Musée National du Québec, Edges Festival and Queer City Cinema, among others. She has written for FUSE and Canadian Theatre Review. Golden has participated in numerous panels on curatorial practices, independent distribution and horror films. Golden is co-Artistic Director of Groupe Intervention Vidéo (GIV). She teaches in the Media Arts Department of John Abbott College. Her novel From The Archives Of Vidéo Populaires (Pedlar Press) was released in March, 2016. Golden has made twenty videos including Les Autres (1991), Fat Chance (1994), Big Girl Town (1998) and The Horror Cycle (2016, 2018) The Hall (2019), Rebound (2020) et The Hunter (2020), among others.
- lamathilde – Mathilde Geromin alias lamathilde est une artiste de vidéo-performance-son, franco-canadienne établie à Montréal. Détentrice de bacs en communication et cinéma, et d’une maîtrise en linguistique, sa démarche est poétique, et ses œuvres reflètent sa passion pour les mots, les langages, le son et l’image. Ses créations très personnelles et politiques, sont caractérisées par une esthétique DIY et économe, des jeux de mots/d’images, et une bonne dose d’humour et de rhétorique. Les sujets qui la préoccupent le plus sont souvent sérieux et douloureux, et liés à l’identité à travers le genre, la sexualité, les rapports de force/oppressions sociales, et plus récemment, le trauma. Depuis 1999, son travail a été diffusé dans différents festivals et galeries à travers le monde. Entre autres FIFA – Montréal, Pink Screens – Bruxelles, Les instants vidéos–Marseille, Mix Festival – New York. // Mathilde Geromin aka lamathilde is a Franco-Canadian video-performance-sound artist based in Montreal. She holds baccalaureates in communication and cinema, and a master’s degree in linguistics. Her approach is poetic, and her works bring together her passion for words, languages, sound and image. A DIY and thrifty aesthetic, word/image games, and a good dose of humor and rhetoric characterize her very personal and political creations. The subjects that most concern her are often serious and painful and are linked to identity through gender, sexuality, power relations/social oppressions, and more recently, trauma. Her work has been shown in many galleries and international festivals, including FIFA – Montreal, Pink Screens – Brussels, Les instants vidéos – Marseille, Mix Festival – New York.
- Dayna McLeod est une artiste médiatique et une performanceuse queer. Son travail passe par l’humour et capitalise sur l’exploitation des conditions sociales et matérielles du corps à travers des pratiques de cabaret, de durée, de remixage, de vidéo et d’installation. Ses intérêts de recherche artistiques et théoriques portent sur les représentations médiatiques de la sexualité, de l’identité queer et sur la façon dont les corps marqués de sexe féminin sont perçus comme propriété publique. Elle a remporté de nombreux prix, dont Le Prix Powerhouse de La Centrale Galerie Powerhouse en 2014 qui célèbre les femmes artistes à mi-carrière ayant contribuées de manière significative à la vie culturelle de Montréal ; divers Prix du public lors de festivals de cinéma et de vidéo comme le Prix du Public au Catégorie expérimentale à Cineffable, Festival International du film Lesbien et Féministe de Paris en 2019, et mentions Meilleur essai vidéo du British Film Institute en 2021, 2022 et 2023. // Dayna McLeod is a queer performance-based and a media artist. Her work uses humour, and capitalizes on exploiting the body’s social and material conditions using cabaret, duration, remix, video, and installation practices. // Her interests of artistic and theoretical research are in media representations of sexuality, queer identity, and how bodies marked female are perceived as public property. She won numerous awards, including Le Prix Powerhouse from La Centrale Galerie Powerhouse in 2014 that celebrates mid-career women artists who have significantly contributed to the cultural life of Montréal, various Audience Choice Awards at film and video festivals like the Prix du Public in the Experimental category at Cineffable, Festival International du film Lesbian et Feminist de Paris in 2019, and Best Video Essay mentions from the British Film Institute in 2021, 2022, and 2023.
- kimura byol lemoine – Le travail de kimura byol lemoine fascine par son ampleur et par son évolution au fil de ce qui semble être plusieurs vies, sur plusieurs continents : né.e en Corée du Sud, adopté.e en Belgique, l’artiste a cherché à se réintégrer en tant que Coréen.ne pendant plus de dix ans avant de finalement immigrer à Montréal où yel.le devient un.e acteurice actif.tive au sein des communautés artistiques, P.O.C, queer et féministes. Sa pratique artistique, qui pourrait également être considérée comme un archivage activiste, prend diverses formes : calligraphie, photographie, peinture, poésie, vidéo et collaboration. Par ces médiums, kimura byol lemoine aborde les questions d’identité, de genre, de race, de couleur de peau ainsi que celles de la diaspora et de l’immigration. Depuis 1988, kimura * lemoine a eu ses films/vidéos programmé.e.s dans de nombreux festivals, galeries et cinémas. // The work of kimura byol lemoine fascinates by zer breadth and evolution across what seems like several lifetimes and continents: Born in South Korea, adopted in Belgium, the artist sought to reintegrate as Korean for more than a decade before finally immigrating to Montreal where ze becomes an active player in the city’s queer, P.O.C, and feminist art communities. Zer* artistic practice, which could equally be treated as activist archiving, takes the forms of calligraphy, photography, painting, poetry, video and collaboration. Across these mediums, kimura byol lemoine inquires into identity, gender, race, colorism, diaspora and immigration. Since 1988, kimura * lemoine has been screened at numerous festivals, art spaces and cinemas.
- Kim Kölle Valentine se consacre à la vidéo, au dessin et au collage. Son processus est basé sur des intérêts pour la superposition de récits, le cinéma et la littérature, à travers lesquels elle a développé une banque d’images et d’idées. Son travail a été présenté dans des expositions solos à Dazibao (Montréal, CA), LUX (Londres, UK), VOX (Montréal, CA), Sporobole (Sherbrooke, CA) et k48 (Vienne, AT). Son travail a également été présenté dans le cadre d’expositions de groupe et de séances de projection, notamment au Festival du film documentaire et de la vidéo de Kassel, à la Biennale WRO, au FIFA Expérimental (Montréal), au Festival international du court métrage d’Oberhausen et à la Bienal de la Imagen en Movimiento (Buenos Aires). Elle a été artiste en résidence à KulturKontakt (Vienne, AT), Aberystwyth Arts Centre (Royaume-Uni), The Red Mansion Foundation (Pékin, CN), et au International Studio and Curatorial Program (Brooklyn, États-Unis). // Kim Kölle Valentine works in video, drawing, and collage. Her process is based on interests in layered narrative, cinema, and literature through which she has developed an archive of images and ideas. Her work has been presented in solo shows at Dazibao (Montréal, CA), LUX (London, UK), VOX (Montréal, CA), Sporobole (Sherbrooke, CA) and k48 (Vienna, AT). Her work has also been shown widely in group exhibitions and screenings including Kassel Documentary Film and Video Festival, WRO Biennale, FIFA Experimental (Montréal), Oberhausen International Short Film Festival, and Bienal de la Imagen en Movimiento (Buenos Aires). She has been an artist in residence at KulturKontakt (Vienna, AT), Aberystwyth Arts Centre (UK), The Red Mansion Foundation (Beijing, CN), and International Studio and Curatorial Program (Brooklyn, US).
Le GIV et les co-commissaires remercient le Conseil des Arts du Canada et le Conseil des Arts et Lettres du Québec ainsi que le Centre Audiovisuel Simone de Beauvoir.